Le minimum du destin
Le vent hurlait par les hautes lorient de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite assemblée de match, un moine s’éclairait à la lueur vacillante d’une chandelle. La caisse était emplie de l’odeur du parchemin traditionnel et de l’encre fraîche.